lundi 23 novembre 2009

Peter Pan, je suis ton père shhh... ou James Matthew Barrie


Sa mère qui eut une importance capitale dans sa vie, lui donna le goût de la fiction en lui lisant des histoires, surtout celles de Stevenson.
Son frère David, fils préféré de sa mère, mourut lorsqu'il avait treize ans. Le petit Jimmy (diminutif de James) essaya de le remplacer dans le cœur de sa mère, allant jusqu'à s'habiller avec les vêtements du défunt. L'enfance de J. M. Barrie ne fut pas des plus heureuse.
Son mariage avec l'actrice Mary Ansell ne fut guère plus heureux. Sans enfant, l'union fut rompue par un divorce demandé par son épouse qui avait pris un amant.
Ami intime de la famille Llewelyn Davies, James cultivait une amitié ambiguë mais respectueuse avec la mère des enfants, Sylvia Llewelyn Davies. Lorsque Arthur Llewelyn Davies mourut, il s'impliqua davantages avec les Davies, leur fournissant un soutien financier, pourvoyant largement aux besoins de subsistance et éducation des enfants. Il proposa à Sylvia de l'épouser, ce qu'elle n'accepta pas. Sylvia mourut peu de temps plus tard, demandant que « J. M. B » soit l'administrateur et le gardien de ses fils. Il s'occupa donc des garçons pendant leur enfance et leur adolescence, devenant leur tuteur et traitant George, Jack, Peter, Michael et Nicholas comme ses fils. C'est le temps passé à leurs côtés, avant la mort de leurs parents, qui lui inspira les personnages de Peter Pan.

2 commentaires:

Thierry COQUELET a dit…

Je découvre cette version avec le plus grand plaisir, ce dont je te félicite car, outre la technique (stylo bille, si je ne me trompe ?), il est très convaincant.
Beau travail, Guillaume !

Unknown a dit…

La technique du stylo bille me vient du temps ou j'étais sur les bancs de la fac et que je travaillais énormément dans les marges de mes cours au bic 4 couleurs.
Néanmoins voyant ton travail, et cherchant à connaître le secret de ta technique, il a fallu que j'expérimente à nouveau ce média. À part en travaillant sur un plus grand format (ici A6)et en essuyant beaucoup son crayon, je ne serais jamais en mesure d'atteindre ton velouté.

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